Votre sécurité électrique est notre priorité. 

Nous réalisons des diagnostics complets pour identifier les risques et mettons en sécurité vos installations électriques existantes. 

Faites confiance à notre expertise pour une tranquillité d'esprit assurée.

Maintenance électrique : la clé pour des installations fiables et durables.

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Maintenance Préventive : Anticiper pour éviter les problèmes

  • Inspections régulières : Vérification visuelle des équipements, des connexions, du câblage pour détecter les signes d'usure, de corrosion, de surchauffe ou de dommages potentiels.
  • Contrôles et tests : Mesure des tensions, des courants, de la résistance d'isolement, vérification du bon fonctionnement des dispositifs de protection (disjoncteurs, fusibles, différentiels).
  • Serrage des connexions : Resserrage des bornes et des conducteurs pour éviter les échauffements dus à un mauvais contact.
  • Nettoyage des équipements : Élimination de la poussière et des contaminants qui peuvent entraver le refroidissement et provoquer des courts-circuits.
  • Lubrification des pièces mécaniques : Entretien des moteurs, des contacteurs et autres éléments mobiles pour réduire la friction et l'usure.
  • Remplacement programmé de composants : Changement des pièces ayant une durée de vie limitée (batteries, condensateurs, etc.) avant qu'elles ne tombent en panne.

Découvrez les 04 grands axes de la maintenance électrique

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Maintenance Corrective : Réparer pour rétablir le fonctionnement

  • Diagnostic des pannes : Identification de la cause d'une défaillance électrique (court-circuit, surcharge, défaut d'isolement, etc.).
  • Réparation ou remplacement des composants défectueux : Intervention pour remettre en état l'équipement ou substituer les éléments endommagés.
  • Remise en service : Vérification du bon fonctionnement de l'installation après la réparation.

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Maintenance Prédictive : Surveiller pour prévoir des défaillances

  • Analyse vibratoire : Surveillance des vibrations des machines tournantes (moteurs, pompes) pour détecter les déséquilibres, les défauts d'alignement ou les problèmes de roulement.
  • Thermographie infrarouge : Détection des points chauds anormaux dans les connexions, les équipements et les tableaux électriques, signaler des problèmes potentiels.
  • Analyse des huiles : Surveillance de l'état des lubrifiants pour détecter l'usure des équipements.
  • Surveillance des paramètres électriques : Analyse des courbes de charge, des harmoniques et autres indicateurs pour identifier les anomalies de fonctionnement.

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Maintenance Améliorative : Optimiser pour la performance et la sécurité

  • Modification des installations : Adaptation ou amélioration des systèmes existants pour répondre à de nouveaux besoins ou pour renforcer la sécurité et la fiabilité.
  • Mise en conformité : Actualisation des installations pour respecter les normes électriques en vigueur.
  • Optimisation énergétique : Mise en place de solutions pour réduire la consommation d'énergie.

En combinant ces différents axes, on peut mettre en place une stratégie de maintenance électrique efficace qui permet de minimiser les arrêts de production, de prolonger la durée de vie des équipements, d'assurer la sécurité des personnes et des biens, et d'optimiser les coûts d'exploitation.

 La norme NFC-15-100 du 23 août 2024 
Découvrez les principaux changements de la norme électrique

Huit nouveautés principales

Grâce au changement climatique qui multiplie les orages, l’installation de parafoudres est modifiée dans la nouvelle version de la norme. Elle contient notamment une mise à jour de la carte des densités de foudroiement. En logement, les nouveautés portent sur l’installation de parafoudre sur les réseaux de communication. En revanche la norme édicte de nouvelles règles de protection contre la foudre pour les bâtiments tertiaires et industriels, différentes de celles applicables en logement. En fonction des conditions d’occupation des bâtiments, de la nature de l’activité exercée, des risques pour la vie humaine, des risques d’explosion dans le cas des installations classées ICPE, … il devient obligatoire d’installer un parafoudre. Si le bâtiment ne correspond pas aux diverses conditions listées par la norme, il faut mener une analyse de risque selon la méthode décrite dans la norme. S’il n’est pas mené d’analyse de risque, l’installation de parafoudres devient obligatoire. Bref, il vaut mieux en installer dans tous les cas. La norme précise même qu’un parafoudre supplémentaire doit être installé au tableau électrique, en amont et au plus près des équipements à protéger, si :

– le parafoudre principal est doté d’un niveau protection trop élevé ;

– des surtensions de manœuvre ont été préalablement identifiées dans l’installation.

Communication, recharge de véhicules électriques

La nouvelle NF C 15-100 ajoute le traitement des réseaux de communication : les adductions, c’est-à-dire l’arrivée des réseaux des opérateurs dans le logement et le contrôle des installations de communication avant leur remise à l’usager. Les studios et les T2 (deux pièces) comportent au moins deux prises RJ45, reliées par deux câbles différents au tableau de communication et installées à proximité des emplacement prévus pour les équipements multimédia. Dans la chambre du T2, une prise RJ45, ainsi que dans chacune des pièces supplémentaires à partir du T3 et au-delà. La norme spécifie également les emplacements des prises RJ45, le type de câble, demande une homogénéité des performances des divers équipements en termes de débits, précise les longueurs maximales, etc.

En ce qui concerne les équipements de recharge pour véhicules électriques ou hybrides rechargeables, la nouvelle C 15-100 explique qu’il faut se référer à la réglementation qui fixe des obligations différentes selon le type de bâtiment et de parkings. Ensuite, elle précise que la nouvelle rédaction de la C 15-100-7-722 qui porte sur les infrastructures de recharge, annule et remplace le guide UTE C 15-722 et les fiches d’interprétation F11, F15, F17, F22 et F23 qui venaient compléter l’ancienne rédaction de la C 15-100 version 2002. Les infrastructures de recharge alimentées directement par un poste de livraison extérieur relèvent en revanche de la norme NF C 17-200. La nouvelle C 15-100 détaille ensuite les infrastructures de recharge alimentées depuis une maison individuelle, un bâtiment de logement collectif ou un autre bâtiment (tertiaire, industrie, etc.).

Les installations photovoltaïques, l’efficacité énergétique

La nouvelle C 15-100 ne couvre pas tous les types d’installations photovoltaïque sur un bâtiment ou d’autres installations de production locale d’électricité (mini-éolienne, groupe électrogène de secours, etc.). Si la partie basse tension de ces diverses solutions est bien couverte par la nouvelle C 15-100 :

 

  • une installation raccordée au réseau et sans stockage relève de l’UTE 15-712-1,
  • une installation non-raccordée au réseau, mais avec stockage est traitée par l’UTE15-712-2,
  • tandis qu’une installation raccordée au réseau et avec stockage est soumise à la norme expérimentale XP C 15-712-3.
  • Enfin, une norme européenne harmonisée – HD 60364-8-82 – traite des installations de production d’électricité sur site.

 

La nouvelle C 15-100 prend en compte le photovoltaïque de balcon ou de jardin, autrement dit les générateurs directement raccordés en aval des circuits de protection sur un circuit terminal de l’installation. Elle ajoute dans ce cas quatre conditions sur lesquelles nous reviendrons à la faveur d’un article consacré au photovoltaïque de balcon.

 

L’efficacité énergétique, toute nouvelle notion apparue à la faveur de cette révision, relève précisément de la NF C 15-100-8-1 qui s’applique à tous types d'installations électriques basse tension, y compris aux installations avec production locale et stockage local de l'énergie, à toutes les installations neuves ou existantes. Le système de gestion de l’efficacité énergétique et des charges optimise l’utilisation de l’énergie consommée pour tenir compte des exigences de l'utilisateur, des exigences relatives aux charges, des exigences relatives aux sources d’énergie, des données d’environnement. Ce système comprend la supervision, le contrôle et la commande intelligente de l'ensemble de l'installation électrique, en général de manière automatisée. Il mesure de la consommation totale de l’installation en kWh, pour chaque heure de chaque jour, et ces données tarifées sont consignées dans un journal, conservées pendant un an au minimum et accessibles à l'utilisateur.

En ce qui concerne les installations dans le tertiaire et l’industrie, la nouvelle C 15-100 s’intéresse au courant continu, aux schémas de liaison à la terre qui l’accompagnent, au calcul du courant de court-circuit sur du courant continu et donc aux protections adéquates. Précision importante pour les habitués de la C 15-100 ancienne version, les numéros de modes de pose sont désormais ceux de la norme internationale IEC 60364-5 et ne correspondent plus aux numéros de l’ancienne version de la C 15-100, qui, sage précaution, demeurent tout de même indiqués entre parenthèse.

La nouvelle C 15-100 introduit huit changements. Elle pose les conditions d’emploi des disjoncteurs différentiels de type F. Particulièrement utile dans le cas de présence d’équipements avec variateurs de vitesse, variateurs de fréquence, comme les pompes à chaleur, les pompes de piscines, les circulateurs de chauffage les plus récents, les climatiseurs, le disjoncteur différentiel de type F ajoute un déclenchement pour des courants différentiels résiduels composés, qu'ils soient appliqués brusquement ou en augmentation lente, et pour des courants différentiels résiduels continus pulsés superposés sur un courant continu lissé.

 

Seconde nouveauté, la norme introduit les détecteurs d’arc, recommandés pour la protection des prises de courant dans les lieux critiques. Les détecteurs d’arcs électriques, que l’on appelle aussi DPDA (Dispositif de Protection Détecteur d’Arc) ou AFDD (Arc Fault Detection Device), détectent les arcs électriques dès leur apparition et mettent en sécurité le départ électrique concerné pour éviter un incendie. Selon Schneider Electric : "Pour assurer son bon fonctionnement, le protecteur d’arc doit donc être installé au niveau du tableau électrique, à l’origine du circuit terminal à protéger".

 

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